RTNC: Du grabuge fomenté à la dérive des imputations dommageables.

La situation entourant Madame Sylvie Elenge, directrice générale de la RTNC* , soulève des questions importantes concernant la diffamation et la protection de la réputation.

Les accusations formulées à son égard par la syndicaliste Ange Bamboyo qui a été convoquée au tribunal, semblent faire partie d’une campagne plus large de dénigrement et de destruction de la personnalité de madame la Dg Sylvie Elenge . Dans ce contexte, la justice sera amenée à trancher sur la qualification de ces propos.

La diffamation, en tant qu’accusation qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne, repose sur trois éléments : une allégation ou imputation d’un fait précis, la communication de ce fait à une tierce personne, et l’absence de preuve de la véracité de l’allégation. Dans le cas présent, il sera crucial de déterminer si les propos tenus par Ange Bamboyo répondent à ces critères .

Madame Elenge est perçue comme quelqu’un de serein et d’intègre, qui ne tolère pas les pratiques malhonnêtes, notamment le détournement. Son engagement dans la lutte contre la mauvaise gouvernance constitue une position forte qui pourrait influencer la perception du comité de gestion, composé d’individus ayant des intérêts personnels .

L’appui du personnel en faveur de madame Elenge pourrait également jouer un rôle important dans les discussions juridiques à venir.

Il est impératif que les droits de madame la Dg Elenge soient protégés, particulièrement dans un environnement où la réputation peut être facilement ternie par des allégations non fondées .

La réponse judiciaire à ce type de diffamation pourrait également envoyer un message concernant les limites de la liberté d’expression et l’importance de la bonne foi dans la communication.

Dédé amuli.