DGI: Confusion et méprise contre le DGA, dans ses statuts public et privé.
Entreprises publiques et politique.
Monsieur Abdon Etina Bekila Ipan, côté public, est directeur général adjoint de la direction générale des Impôts, DGI, et reste, parmi les mandataires des entreprises publiques, l’un des hauts fonctionnaires responsables des plus intègres que compte le portefeuille de l’État congolais.

Les allégations des détracteurs, selon lesquelles, ce Fidèle serviteur de la vision du Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, au sein de la DGI, cacherait une autre face où jouerait un double jeu, sont tous simplement les œuvres d’une duplicité motivée par de la jalousie injustifiée. Le comité de gestion de la DGI, où ce vertébré en management démontre son savoir-faire, effectue des performances qui satisfont les assignations et confortent davantage le trésor public.

Ce qui semble, visiblement, causer des insomnies à ceux qui jalousent l’efficacité de son dynamisme tranquille.
Entretemps, côté privé, il est de notoriété publique que Monsieur Abdon Etina Bekila Ipan, a aussi une autre dimension, celle d’acteur politique; d’où sa casquette d’Autorité Morale du parti : Alliance des Paysans, des Ouvriers et de la Classe Moyenne Pour un Développement Durable (APOCM), formation politique qui fait bloc avec l’UDPS comme allié dans le regroupement UDPS-A de l’Union sacrée de la nation.

Sa position politique dans l’APOCM ne peut pas se confondre avec sa responsabilité publique au sein de la DGI tel que veulent prétendre les faiseurs d’embarras inutiles. C’est une chose que de servir loyalement les intérêts de l’État, comme il s’évertue de le faire à la Direction Générale des Impôts, DGI, c’en est une autre que de demeurer respectueux des idéaux liés à un engagement politique. Les prérogatives dans l’administration publique ne correspondent pas aux enjeux sur la scène politique. Bref, le DGA, Abdon Etina, ne saurait instrumentaliser sa position publique pour favoriser son créneau politique qui n’en demande pas, mis à part, toute l’estime qu’il suscite autour de lui pour qu’à son insu, il s’ entraîne certains zèles indépendants de sa volonté, par des sympathisants. Qu’on arrête de lui attribuer des actions ayant un rapport avec des manifestations libres et isolées qu’il ne peut assumer et contrôler car, la discipline professionnelle qu’il s’est toujours imposé ne rime qu’avec son amour du travail bien fait. Alors, interférer ses fonctions politiques avec celles de mandataire publique est une méprise mêlée de confusion totale sur son compte et sa personne.

Oui!
S’il y a à plaindre, ce n’est pas de lui qu’il faut s’en faire, c’est plutôt contre ceux qui craignent son crédit naturel auprès de ses innombrables sympathisants qui veulent manifester leur enthousiasme à ce noble patriote de la république démocratique du Congo.
Que ses détracteurs sachent, une fois pour toutes, que Monsieur le DGA de la DGI, Abdon Etina Bekila Ipan ne gère pas les effusions de quelques agents ou protocoles trop enthousiastes qui, convaincus de sa part notable dans la bonne gouvernance du comité de gestion dont il fait partie à la DGI, saluent ses autres atouts qu’il ne peut renier mais qu’il n’encourage pas délibérément. C’est dire qu’il faut savoir nuancer les choses. Aussi, autre chose, ce n’est pas lui, non plus, qui valide les ordres des missions pour des formations et renforcement des capacités à l’étranger. C’est à éviter de lui coller certaines charges et prérogatives supplémentaires pour rien.
Enfin, Monsieur le DGA, Abdon Etina Bekila Ipanl, respecte ses statuts sans tergiverser. A la DGI, il est un fonctionnaire apolitique, engagé de performer encore plus qu’il sera possible dans cette régie stratégique.

Dans l’APOCM, parti allié à l’UDPS-A, il est l’Autorité Morale. Ne faites pas la confusion ou le Meli mélo !
Dede Amouly.
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