Transports et société : Circulation à Kinshasa : les embouteillages, un mal chronique ?
Circulation à Kinshasa : les embouteillages, un mal chronique ?
Depuis quelque temps, la ville de Kinshasa, capitale de la RDC, est confrontée à des embouteillages persistants. un trafic routier encombré! Il convient de s’interroger, est-ce un problème de manque d’infrastructures de grande envergure, une absence des voies secondaires, une insuffisance des routes ou un problème de croissance démographique.

Cependant le gouvernement provincial ne cesse de trouver des mesures temporaires pour alléger la situation, demeure à la traîne dans la recherche des solutions concrètes et durables mais le problème demeure en attendant de solutions.

Kinshasa, en proie à une circulation fortement perturbée par les embouteillages.
En effet, c’est dans de nombreuses artères de la ville qu’on retrouve les embouteillages. Mais l’opinion publique est partagée!
Pour certains, la détérioration des routes, notamment des routes non asphaltées, serait à la base des embouteillages.

D’autres expliquent ces embouteillages qui paralysent régulièrement la circulation dans la ville province de Kinshasa par l’absence des voies secondaires.
un problème d’infrastructures de grande envergure, le transport routier constitue le seul moyen de déplacement, le non respect du code de la route notamment des panneau de signalisation, le manque de courtoisie routière, la police de circulation routière souvent accusée de semer du désordre, des problèmes des arrêts de bus, des marchés pirates le long des routes mais également dans les carrefours,etc.

Toutefois, ceux-ci ne se limitent qu’aux embouteillages mais cela va bien au-delà car ces embouteillages entraînent divers désagréments, entre autres les demi-terrains, l’augmentation du prix de transport, mais aussi la difficulté de transport.

Les autorités provinciales restent déterminées à résoudre ce problème, tout en mettant en place diverses initiatives pour pallier cette situation. Récemment les mesures palliatives prises par le gouvernement provincial consistait à la répartition de sortie de bus en fonction de leur numéro d’immatriculation, mais précédemment il avait mis en place un système, celui de sens unique en rotation différentes heures sur certaines artères. Le gouvernement provincial avait notamment annoncé le moyen de transport par voie fluviale.

En revanche, la population Kinoise paraît accepter les embouteillages comme une réalité quotidienne.
Mais alors, que faut-il utilement pour résoudre ce problème? La question demeure posée!
Faudrait-il envoyer les conducteurs au recyclage?
Mettre des nouvelles unités recyclées de la police de circulation routière ;
Lancer la construction des routes secondaires ;
Être actif dans la réhabilitation des chaussés ;
Réhabiliter ou Initier de nouveaux mode de déplacement dont la voie ferrée ;
Procéder à la construction d’ infrastructures de grande envergure telles que les autoroutes.

La principale responsabilité incombe au gouvernement tant national que provincial de mettre en œuvre les mesures idoines pour résoudre ce problème. Il convient de souligner que la ville souffre notamment d’une absence d’infrastructures majeures capables de soutenir sa croissance démographique. La problématique reste posée et les autorités restent dans une phase de recherches de solutions pérennes.
Autisse Nyombo.
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