La Presse à l’honneur dans le monde
Presse.
Le 3 mai de chaque année, il est consacré la journée internationale de la Liberté de la presse dans le monde. Ce 3 mai 2024, il s’agira de la 31e édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse.
Cette édition de la Journée mondiale de la liberté de la presse remet l’occasion de rappeler le rôle significatif joué par la presse, le journalisme, l’accès et la diffusion de l’information, pour assurer un avenir durable qui respecte les droits des individus, leur diversité de voix, et l’égalité des genres. Aussi, en rapportant le thème de cette année » Au service de la planète : crise environnementale et urgence du journalisme », c’est clair que la Journée mondiale de la liberté de la presse place toute l’importance du journalisme et de la liberté d’expression dans le contexte de la crise environnementale mondiale actuelle.
En effet, les journalistes doivent absolument prendre conscience de la gravité de la situation environnementale actuelle de la planète dans tous les aspects de la crise environnementale mondiale et ses conséquences sur l’écosystème et les populations.
Entre-temps, les années passent mais certains malaises dûs à l’insécurité grandissante du métier de journaliste persistent encore parce que les journalistes sont toujours confrontés à d’importants défis lorsqu’ils recherchent et diffusent des informations sur des questions d’actualité, telles que les problèmes liés aux chaînes d’approvisionnement, les migrations climatiques, les industries extractives, l’exploitation minière illégale, la pollution, le braconnage, le trafic d’animaux, la déforestation ou le changement climatique alors qu’il est crucial d’assurer la visibilité de ces questions pour promouvoir la paix et les valeurs démocratiques dans le monde.
Il existe des informations trompeuses et fausses sur le changement climatique, fausses informations qui suscitent le doute et l’incrédulité quant aux questions environnementales, à leur impact et à leur urgence, sapant ainsi les efforts internationaux pour y remédier.
Cette attitude correspond à la désinformation des mauvaises informations ou la dés-mésinformation sur les questions environnementales.
Dans cette optique, l’ONU insisté que pour parvenir à un développement durable, il est impératif que les journalistes et les scientifiques couvrent de manière précise, opportune et exhaustive les questions environnementales et leurs conséquences, tout en mettant en lumière les solutions envisageables.
Cela nécessite la considération de certains préalables dont, exclusivement :
La prévention et la protection contre les crimes commis à l’encontre des journalistes; la promotion de la pluralité, de la diversité et de la viabilité des médias, en particulier des médias régionaux, locaux, autochtones et/ou communautaires;
l’assurance que la gouvernance des plateformes numériques favorise la transparence des entreprises technologiques, leur responsabilité, la diligence raisonnable, l’autonomisation des utilisateurs, avec la modération et la conservation du contenu basées sur les normes internationales des droits humains, telles qu’indiquées dans les Principes de l’UNESCO pour la gouvernance des plateformes numériques.
La rédaction.
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