MIBA S.A : Qui va et doit finalement trancher dans cet imbroglio interne?
Portefeuille de l’État.

La multiplicité des coups et contrecoups qui s’opèrent dans cette entreprise publique, l’embarras des comptes et mécomptes qui s’accumulent entre le comité de gestion et le Conseil d’administration, livrent l’ampleur du désordre qui règne dans cette société transformée en une arène des conflits permanents.

Ce mauvais climat social empoisonne tout espoir de relance escomptée dans l’ensemble du personnel condamné de subir les frasques des mandataires, selon toute apparence, à couteaux tirés.

Il faut que l’État congolais, via le garant de la nation et président de la république, intervienne.
Nous sommes à quelques jours de la tenue des états généraux du portefeuille.

Cette situation incroyable et scandaleuse, à la MIBA S.A, à l’exemple de celles qui se déroulent dans de nombreuses entreprises publiques, est de nature à discréditer les capacités des congolais à composer entre eux.
D’un différend à un autre qui entrecoupe un troisième qui provoque des tensions supplémentaires, on ne sait plus ce qui se passe ! Aux dernières nouvelles, un actionnaire réclame au Conseil d’administration des comptes aussi.




Trop c’est trop !
Des grandes entités financières et administratives sont immobilisées et freinées à cause des incompatibilités d’humeurs et de peaux de bananes constantes. Même que le ministère de tutelle en a le tournis.


Il faut que les choses soient plus claires, très rapidement, entre la position du D.G. Kabanda André et le Conseil d’administration, pour lesquels le syndicat s’est divisé en deux fronts soumis et au service, chacun, l’un au comité de gestion et, l’autre, au Conseil d’administration.

De là, à admettre que tous les caractères de l’instrumentalisation sont monnaie courante dans cet ex fleuron de l’économie nationale, il n’y a qu’un pas !
Idée sur la confusion dans ces correspondances étourdissantes.
La rédaction.
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