Plusieurs marques de farines zambiennes interdites en RDC.

Économie.

Plusieurs marques de farines zambiennes interdites en RDC.

C’est le comble pour la république démocratique du Congo qui voit le secteur de l’alimentation menacé par des produits réputés toxiques et contre le bien-être de sa population.

8 marques de farines alimentaires sont interdites de consommation sur le sol congolais en raison de la toxicité constatée dans les produits additifs.

Le ministre Julien paluku, qui l’a annoncé, évoque un niveau très élevé d’aflatoxine qui aurait causé jusqu’à la mort de plusieurs chiens nourris à ces farines impropres à toute consommation.

C’est en fait, le gouvernement zambien qui en informé les autorités congolaises qui ont pris des mesures pour surveiller les moindres infiltrations d’une de ces farines nocives des opérateurs économiques sans scrupules.
Il s’agit des farines :

1. Pembe roller métal number three métal
2. Africa milling roller métal and breakfast
3. Farm feed super dog métal
4. Shabco milling
5. Continental milling
6. Girard milling
7. Busu milling
8. Star milling.
   Certains lots de ces farines seraient déjà sur le territoire national, introduites à partir du poste frontalier de Kasumbalesa, au Haut-Katanga.Toutes les entreprises en possession de ces farines dangereuses sont contraintes de détruire ces produits sans attendre et d’en informer les services de l’état qui sont à pied d’œuvre pour intercepter cette menace.
   Que sont les aflatoxines?

Ce sont des moisissures ou champignons qui affectent certaines cultures de maïs, de manioc, de coton, de mil,de riz, de sorgho, de tournesol, de blé, d’arachide,etc…

Ces champignons produisent des toxines vénéneuses capables de pulvériser des cultures entières et attenter sérieusement à la vie des personnes.

Le ministre de la santé publique et hygiène, est formel là-dessus.
Grâce à la collaboration des services zambiens et congolais qui ont procédés à des tests, qui se sont avérés positifs, sur les farines pour tomber sur la conclusion de les mettre en quarantaine.

Cependant, on apprend que quelques importateurs locaux auraient tenté, dans la mauvaise foi qui les caractérise, à infiltrer quelques unes de ces farines avariées. Il faut que l’opinion publique sache que mêmes les sacs vides de ces farines sont contaminés et impropres à n’importe quel autre usage.

Il convient de tout brûler, comme précaution définitive.
Aux services de surveillance de faire très attention à ces criminels qui sont capables de changer les sacs pour garder le contenu nuisible et mortel qu’ils s’empresseront d’écouler.

La rédaction.