COP30-Belém(Brésil): Lancement officiel du « Couloir vert Kivu-Kinshasa » : la plus grande aire protégée du monde par la RDC.
C’est un engagement historique pour la biodiversité que le Pays-Solution a décidé d’honorer en faveur des peuples autochtones et communautés locales ( PACL) ainsi que pour l’Humanité.

Belém, qui est au cœur de l’actualité mondiale pour toutes les questions liées à l’environnement planétaire, a vécu un moment des plus remarquables qui s’inscrit dans la volonté manifeste de la République démocratique du Congo (RDC) de servir de ressource capitale contre le réchauffement climatique qui menace la terre entière.

Au nom de la RDC, Mme la Ministre de l’Environnement, Développement Durable et Nouvelle Économie du Climat, MEDD-NEC en sigle, Marie Nyange Ndambo, a prouvé à la face du monde inquiet que son pays est bien capable de consentir davantage des possibilités à fournir des solutions concrètes et adaptées aux nombreuses questions qui concernent les défis climatiques et enjeux environnementaux.

En annonçant officiellement, à Belém, site historique des assises de la COP30, le programme » Couloir vert Kivu-Kinshasa », cette initiative majeure et inspirée du président de la RDC et Chef de l’État, Félix Tshisekedi, Mme la Ministre realise que c’est bel et bien un tournant décisif qui s’opère pour son pays dans son engagement climatique et environnemental.

Ce programme, essentiel pour la sauvegarde et protection de la biodiversité exceptionnelle de la RDC, unique au monde, établit une nouvelle référence en matière de conservation de la nature homologuée. Cet espace naturel d’une superficie inestimable de 540 000 km², devient à la fois la première et la plus grande aire protégée du monde, surclassant les trois plus importantes aires protégées existantes du Brésil.

Aperçu de la Noble Vision attachée à cette initiative.
L’initiative de la RDC vise à concilier développement durable, développement économique local et conservation à grande échelle. C’est plus que louable d’autant que Mme la Ministre de l’Environnement, Développement Durable et Nouvelle économies du Climat, MEDD-NEC, Marie Nyange Ndambo, a circonscrit les doubles objectifs de cet ambitieux programme, en ces termes clairs : « Le chef de l’État a lancé cette initiative premièrement pour améliorer les conditions de vies des communautés locales et des peuples autochtones. Le président l’a voulu aussi pour relier l’est et l’ouest de la République démocratique du Congo».

Il faut noter que la RDC est un pays sous-continent, limitrophe de 9 pays qui baignent dans son environnement.
Projet Ambitieux aux Objectifs Multiples.
C’est un autre représentant prestigieux de la RDC, Mr Tosi Mpanu Mpanu, Conseiller principal en matière de l’Environnement du Chef de l’État, qui a surenchéri en livrant les proportions imposantes du « Couloir vert Kivu-Kinshasa « , une structure écologique et économique monumentale dont la taille et la connexion relieront l’Est à l’Ouest du pays via le fleuve Congo sur une étendue de plus de 2 300 kilomètres.
Les Tourbières en seront les atouts décisifs vu que ce projet couvrira 67 % des tourbières de la RDC, ces écosystèmes forestiers locaux des plus vitaux pour le climat mondial.

Les objectifs stratégiques du projet se rapportent à un but spécial pour l’intérêt de l’humanité : « Protéger la biodiversité, faciliter le mouvement des espèces, renforcer la résilience climatique et réduire les émissions de carbone. »
Du Financement : La RDC entrevoit tout au moins 1 milliard de dollars par année pour soutenir ce projet. Les émissions des fonds proviendront en concurrence du budget national, des bailleurs de fonds bi et multi latéraux, du secteur privé, des philanthropes, des crédits carbone etc.
Il s’agit, par cette pluralité des parties prenantes, d’une indéniable » Reconnaissance Internationale et un Alignement certain du projet sur le Cadre Mondial ». Une nette avancée qui s’est consacrée.

Tout l’intérêt du projet congolais est palpable de la part des partenaires techniques, financiers et des scientifiques présents à Belém. La RDC s’est hissée noblement sur les devants de la scène internationale en mettant en valeur ses potentialités naturelles incontournables car, en dédiant 30 % de son territoire national à la conservation grâce à ce couloir, elle s’affiche, à juste titre, dans la position du » premier pays à atteindre l’Objectif 30×30 du cadre mondial de la Biodiversité Kunming-Montréal ».

Même le Professeur Simon Lewis, chercheur de renommée internationale pour sa découverte des tourbières de la RDC, a salué l’initiative en la qualifiant de: « extrêmement ambitieuse qui concilie la conservation, le développement économique pour la communauté et un large développement durable. »
Quant à Mr Joe Eisen, directeur général de la Rainforest Foundation UK, a clairement exprimé sa satisfaction, en saluant le gouvernement congolais avec tout l’espoir que le modèle des concessions des forêts des communautés sera répliqué le long de ce couloir, a-t-il fait savoir.

Mise en œuvre.
Le projet a déjà obtenu un premier financement de l’Union européenne dans le cadre du programme Global Gateway. Par ailleurs,de nombreux philanthropes ont déjà manifesté tout leur intérêt. C’est évident que le « Couloir vert Kivu-Kinshasa » confirme la République démocratique du Congo comme « le pays-solution » pertinent et essentiel dans les défis climatiques mondiaux.

Particularités du Couloir vert Kivu-Kinshasa :
Cette initiative présidentielle de la République démocratique du Congo s’entend de cerner la plus grande aire protégée du monde (540 000 km²) pour protéger la biodiversité, renforcer la résilience climatique et améliorer les conditions de vie des communautés locales.

Olympus médias RDC (pour la CELCOM MEDD-NEC).
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